Morsmordre
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Septembre 1997. Lord Voldemort a pris le contrôle de Poudlard et tout le monde de la magie tremble. Choisissez votre camp.
 
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 September Quint

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September Quint
Francis Cabrel
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MessageSujet: September Quint   September Quint Icon_minitimeDim 23 Nov - 20:51

Fiche profil des Adultes

Nom : Quint

Prénom : September (comme le mois, héhé !).

date de naissance : 25 Septembre 1961.

Métier : Chasseur de Mages Blancs.

Famille : Une famille modeste. Mes deux parents étant des professeurs moldus

Profil physique (5 lignes minimum)

Allez ! Et c’est parti ! Le September en long, en large et en travers !

Tout à l’heure, je vous parlais d’un « grand maigrichon » aux « yeux bleus ». En effet, c’est ce que je suis et je l’assume ! Même si c’est difficile, argghhh…

Grand, oui je le suis car je dois faire, à mon avis, un bon mètre 80 ! Quant à mon poids, il ne doit guère excéder les 62 kilos. J’ai un corps assez élancé et des allures androgynes que j’ai vraiment du mal à supporter !

Sinon, j’ai des cheveux blonds coupés courts et en bataille. Impossible à coiffer le matin ! Et puis, vraiment, je n’y fais plus attention à présent… Look d’artiste brouillon oblige ! J’ai le front de mon père, celui des « penseurs » comme il s’aimait à le dire, c'est-à-dire long et fuyant.

Mes yeux, quant à eux, sont renfoncés dans leurs orbites et légèrement ombrés par mes sourcils. Ils sont fins et d’un bleu clair et froid, ce qui fait que l’on a toujours un peu l’impression que je suis malade…

J’ai des lèvres euhh… très fines sur un visage et un menton tout aussi fins ! Je vous le disais, un physique TRES androgyne d’ado peu confirmé ! Je suis loin d’être viril…

Quoi ? J’ai zappé un élément ? Lequel donc, je vois pas ! Ahh… mon nez… euhh… ah bon ?

Bon, très bien, si vous y tenez ! J’ai un nez affreux, ridicule et humiliant au possible ! Un nez en trompette ! Ce qui fait que je ressemble à une sorte de farfadet ou un elfe de maison !! Pathétique…

Profil psychologique (7 lignes minimum)

De caractère ? De caractère… aurai-je seulement entendu ce mot là dans la bouche de quiconque en 32 ans de vie ? Mes parents ont toujours soutenu mordicus que j’étais un garçon « sans avenir », « moins que rien », « fainéant », « pathétique » et j’en passe… Un genre de « raté », vous voyez ?

Non, blague mise à part ! Je suis pas un raté ! Je suis une sorte de… « teigne » ! Le genre de sale type qui se venge dès que quelqu’un lui fait un mauvais coup et qui n’hésite pas à en rajouter si celui-ci n’est pas content...

Beaucoup des psys que j’ai vu (oui, pour ceux ou celles d’entre vous qui ne sauraient pas, un «psy » c’est un docteur que l’on va voir quand on est timbré, qu’on travaille de la toiture !) disent que je fais souvent ressortir mon agressivité car je ne sais pas me protéger ou me défendre autrement.

C’est, paraît-il, une « manière pour moi de cacher qui je suis ou ce que je ressens » ! Ce ne sont pas mes mots mais les leurs, notez bien !

Je ne suis pas non plus ce que l’on pourrait appeler un « mauvais garçon » et, je dois avouer, qu’en commençant à devenir adulte je me suis assagi ! Non, non, c’est vrai !

On a toujours le besoin de se camper derrière un personnage, une identité lorsqu’on est môme ! Non moi je suis « moi-même » à présent, et c’est tout ! Plus besoin de jouer les bad boys rebelles… c’est du passé !

Vous savez ce que disent mes amis ? Non parce que là vraiment ça vaut le déplacement…. Ils pensent que je suis un mec coincé ! Renfermé sur lui-même et sur ce qu’il ressent et qui préfère endurer « mille souffrances intérieures » plutôt que de les laisser exploser !

On dit que je suis timide ou alors… non, c’est pas le terme exact… un « grand garçon timide », comme dirait mes ex, la bouche en cœur avec une voix à la Baloo du Livre de la Jungle ! « Ohh ! Grand garçon timide ! », « petit bébé à sa moman » !

Les mecs timides ou coincés ou anxieux attirent les nénettes, c’est prouvé ! Bientôt, c’est plus une génération Brad Pitt que l’on aura mais une génération p’tits boutonneux à appareil dentaire !

Bref, je m’égare ! Je suis du genre grand sentimental –fils d’artiste oblige. Et je suis grand rêveur ! Vous voyez le grand maigrichon avec ces yeux bleus perdus dans le vague ? C’est moi !

Sinon, je m’entends bien avec tout le monde ! Je dois avoir le sens du relationnel car, malgré mon apparente maladresse et mes éternels balbutiements, j’arrive toujours à mettre ceux qui m’écoutent à l’aise !

Et, si vous avez remarqué, je ne me prends jamais au sérieux ! De plus, je suis un hippie tardif…


Dernière édition par September Quint le Mer 26 Nov - 12:55, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: September Quint   September Quint Icon_minitimeDim 23 Nov - 20:52

Biographie

(10 lignes minimum)
mon histoire… Ah ! Glorieuse vie que la mienne ! Celle d’un petit « sang de bourbe » ! Vraiment, l’on me gâte !
And now ladies and gentlemen, the special life of September Quint !! Youpi !

Que dire ? Je suis né comme tout le monde, et ce dans une petite ville de l’Oklahoma nommée Sleeping Hill. Eh oui ! Je suis avant tout un américain ! L’ennemi des british ! Désolé !

Je suis né de parents moldus. C'est-à-dire, des gens normaux, sans pouvoirs magiques, sans idées ni concepts de ce que pouvait être un sorcier ou le royaume de la magie… Des gens paisibles et simples, modestes, qui vivaient de peu !

Ma maman était professeur de musique au lycée (ma voix, la guitare, vous pigez maintenant ?) et mon père professeur de lettres dans une petite université du coin. Ils coulaient des jours heureux et n’attendaient plus qu’une seule chose : une bénédiction, mon arrivée.

Je naquis donc à l’hôpital durant le mois de ?... de ?… Septembre ! Suivez un peu !! D’où mon horrible prénom : September ! A votre avis, pourquoi la petite Mercredi de la Famille Adams s’appelle comme ça ? Parce qu’elle est née un mercredi ! C’est sans doute ça !

Bref, nous vivions tous dans une petite maison de campagne avec un chien de berger nommé Tommy. Pourquoi le chien avait-il eu droit à un nom normal, ne me le demandez pas, je n’en sais rien !

Pour vous expliquer, mes parents étaient des protestants convertis ! Voués tout entiers à leur culte et à Dieu qu’ils vénéraient plus que tout ! De véritables fanatiques ! Je ne les blâme pas pour ce qu’ils sont, seulement pour ce qu’ils ont fait ! Comme je dis souvent : personne n’est parfait !

Je fus donc entraîné dans la religion protestante, endoctriné par ses principes et mêlé à des pensées que j’estime restreintes, dangereuses et étroites !

A peine mes trois ans arrivés, mes parents me jetèrent dans une petite maternelle. Ensuite, je rentrai en primaire dans un petit pensionnat protestant tenu par des sœurs. Ecole pas mixte donc seulement entre garçons…

Je n’y suis resté que deux ans, grâce au Ciel qui avait dû entendre mes prières ! Mon père, grâce à ses prodigieux résultats en tant que prof, fut muté là-bas dans une grande université relativement prestigieuse !

Bref, nous partîmes donc tous pour l’Angleterre ! Pays que je ne connaissais pas mais que j’appréciais déjà pour m’avoir tiré des griffes de cet horrible pensionnat !

Que m’arrive-t-il ensuite ? Ah l’horreur ! Ce pays est le bastion de tous les protestants coincés ! Bon sang !! (mes excuses aux protestants en passant, tous ne sont pas comme mes parents !).

Et rebelote ! J’entre dans une école protestante, très rangée et très prisée ! Là-bas, c’est l’horreur ! La discipline est de fer et l’on ne plaisante jamais ! Le Seigneur sait pourtant se montrer clément… ils ne l’ont pas capté ici…

Bien sûr, je vous ai dit précédemment que j’étais sorcier ! J’y viens justement ! Ces quatre années de ma vie ont été les plus dures que j’ai pu passer… les plus éprouvantes aussi !

Quatre mois après mon arrivée –j’avais donc 7 ans- j’ai eu, comme tous les magiciens et magiciennes, le côté moins « classe » de l’apprentissage : la connaissance de ses pouvoirs et de son état.

Alors évidemment, la totale ! A commencer par les objets ! Dès que j’étais anxieux, ils se mettaient à léviter lentement dans les airs… Pire encore, lorsque je prenais vraiment peur, ils venaient à exploser tout près de moi !

Lorsque je piquais une colère j’arrivais, par exemple, à créer des extinctions de voix à mes camarades, à les soulever eux aussi dans les airs, à les figer sur place… Tout explosait autour de moi ou volait, c’était terrifiant !

Et inutile de vous dire que l’on ne me prit pas pour le Malin ! Car c’est exactement ce que l’on pensa de moi ! J’étais possédé ! Et moi aussi, je le croyais ! J’y croyais dur comme fer et, chaque nuit, je priais !

Priais le Seigneur d’ôter cette souillure infâme de mon âme ! De faire disparaître le Démon qui s’était insinué dans mon corps !

Croyez-vous que celui-ci disparut ? Non, il redoubla d’effort tandis que j’étais de plus en plus frustré !

C’est alors que je vis des pasteurs à répétition ! Pour m’exorciser ! Ils s’attendaient certainement à ce que je leur vomisse dessus, avec un teint tout vert, cloué au lit, mais bon…

Et rien n’y fit ! Les choses se manifestèrent davantage ! Costaude la bestiole, et tenace !

Alors mes parents –qui ne remettraient jamais en cause le pouvoir solennel d’un pasteur- décidèrent de prendre les choses autrement. Leur merveilleuse progéniture ne semblait pouvoir accepter que le diable sorte de son corps, selon eux !

Alors, il fallait me convaincre que mon âme et mon esprit étaient « malades » ! Ehh oui, malades ! C’te bonne blague !

Je suis donc allé voir des psys… une ribambelle ! Tous aussi décevants les uns que les autres ! Ils me minaient le moral, me brisaient tout espoir de redevenir un garçon « normal » !

Bref, n’arrangeaient rien à mon problème puisqu’ils se délectaient de ce petit Frankenstein que j’étais à leurs yeux…

La seule personne qui su être là pour moi fut ma petite sœur… C’est elle qui, malgré son jeune age, su me redonner parfois le sourire…

Les années passèrent ! Quatre longues années avant que la lettre n’arrive ! Cette fameuse lettre ! Je ne l’oublierai certainement jamais…
On aurait pu croire à une pub ou une plaisanterie de mauvais goût, mais c’était tout le contraire !

Mes parents n’appréciaient pas du tout ce genre de blague et, dès que j’en recevais, s’arrangeaient toujours pour les foutre à la poubelle…
Résultat des courses, vous connaissez l’opiniâtreté de Poudlard : 10 lettres par jours, si ce ne fut plus !

Mais… vous ne connaissez certainement pas l’entêtement de mes parents ! Ahh bien sûr, c’est clair, ils s’évertuèrent à les jeter, me promettant que jamais je ne tomberai entre les mains de cette « odieuse secte ».

La blague ! Moi du moment que je pouvais me tailler de ce pensionnat et de cette atmosphère religieuse, j’étais heureux !

Et c’est alors qu’une chose des plus incroyables se produisit ! Un soir, alors que je montais dans ma chambre, je vis la créature la plus étrange et la plus… moche possible !

Non c’est vrai, il était vraiment laid, le pauvre ! Une sorte de petit être rabougri et aussi malingre que moi avec de grandes oreilles et un visage parcheminé de rides. J’appris bien vite qu’il s’agissait d’un elfe de maison…

Il me fit comprendre aussi que l’auteur des lettres que je recevais voulait me voir ! Et il m’entretint une bonne demi-heure sur mon état de sorcier, les horribles choses qui se produisaient lorsque j’avais peur ou que j’étais en colère.

Il me prouva que ce n’était pas ma faute, que j’étais né comme ça comme l’on naît noir, blanc, jaune ou rouge (je vous la fais version « poétique » ! Ce petit monstre n’avait pas autant de vocabulaire !) et qu’il fallait ainsi que j’apprenne à maîtriser mes pouvoirs !

Je n’y croyais pas, bien entendu. Mais j’avais tellement envie de me barrer d’ici et, qui plus est, j’avais enfin trouvé quelqu’un à mon écoute de plus de deux ans et demi, alors pourquoi ne pas saisir ma chance ?

Et, aussi curieux que cela puisse paraître, il me téléporta et je me retrouvai dans une rue de Londres. Nous passâmes différentes ruelles puis ensuite un mur de brique (c’est dingue, non ?) et nous arrivâmes enfin dans une grande rue commerçante mais loin de faire boucherie, pâtisserie ou traiteur chinois…

Non, au lieu de ça, vous aviez des boutiques de baguettes, de sorts, de confiseries magiques, de matériels de bureau pour sorciers et élèves en sorcellerie et j’en passe…

Le petit moche me laissa une bourse remplie d’argent qui ressemblait de près ou de loin à des écus ! J’eus envie de lui dire que cette monnaie n’était plus en cours depuis quelques siècles, mais il ne m’écouta pas. En revanche, il me donna le renseignement suivant !

A la gare, quai 9 ¾ pour attraper le train de Poudlard (oh ! une rime !). Il fallait que je chope le « Poudlard Express » ! Avouez que c’est quand même assez déstabilisant, le quai 9 ¾ ! Mais bon, quand on est un gosse, on se dit que c’est possible et après… on laisse filer le petit bonhomme sans avoir le temps de le retenir…

Je me retrouvai seul, comme un idiot (pour pas dire autre chose) et je me mis donc en quête de trouver des « fournitures » parmi cette foule d’élèves et de parents sorciers.

Quelle angoisse ! Je suis allé dans plein de magasins différents ! Consciencieusement, le petit moche m’avait laissé une liste d’affaires à acheter ! Trop aimable ! Il devait avoir la trouille que je me goure entre les chaudrons et les baguettes… Enfin…

J’achetai donc une baguette (et je m’en sers toujours !), un chaudron (non, je ne m’en sers plus…), des livres de magie, des grimoires et des cahiers, des ingrédients etc etc… Ne me restait plus que l’élément décisif qui donne encore plus envie de rentrer à Poudlard ! L’animal de compagnie !

Bien sûr, je ne me doutais pas qu’il en fallut un. Chez les moldus, rappliquer avec un chat ou un chien ou son cochon d’inde est plutôt mal vu… On dut alors tout m’expliquer !

Et sur qui je tombai pour me clarifier la chose ? Une petite fille blonde, adorable, jolie comme tout avec des boucles d’or et des yeux vert clair ! Elle s’appelait Susan et attendait patiemment devant la boutique d’ingrédients.

Elle m’apprit donc qu’il fallait absolument un compagnon ! Elle, elle avait une chouette ! C’est pas mal une chouette, c’est sympa ! Elle disait que c’était pour le courrier… Elle devait pas connaître la poste…

Mais bon, d’ici là à ce que je m’achète un facteur pour compagnon…
Je choisis donc un chat ! Un petit chat, tout gris que nous prîmes tous les deux ! Ce n’était encore qu’un chaton et j’espérais qu’il grandisse vite !

Comme nom et comme je ne voulais pas être le seul à me sentir ridicule, je décidai de le baptiser August ! August, c’est joli, c’est bien ! August, c’est Août en anglais ! Et puis on venait à peine de dépasser ce mois, alors…

Voila, le chat ! Toi aussi tu as un nom craignos ! August !

J’aimais bien August… malheureusement, il est mort depuis bien longtemps… Il était bête mais on s’y faisait ! Non vraiment… il était tarte ce chat, il comprenait la moitié des choses… Mais il était sympa et partageait mon malheur !

Bref, revenons-en à mes emplettes ! Susan m’apprit qu’elle était de « sang-mêlé » ! Au départ, je n’avais rien compris mais, en réfléchissant bien, je m’aperçus qu’elle voulait dire qu’elle était la fille d’un moldu et d’une sorcière.

Quand je lui dis que mes parents étaient des moldus, elle eut l’air peinée pour moi… Je ne tardai pas à deviner pourquoi…

Ensuite, je fis la connaissance de ses parents. Sa maman était une femme adorable et assez spontanée !

Son père ressemblait à un pauvre employé de bureau qui ne comprenait ni ce qu’il fichait ici ni pourquoi il y était ! Il semblait prendre les choses avec lassitude tandis que sa femme était une véritable tornade d’énergie !

Bien entendu, nous nous rendîmes vite à la gare ! C’est là que l’on m’expliqua tout et que je découvris que Susan y allait pour la première fois de sa vie elle aussi…

On me raconta l’histoire de Poudlard, ce que j’y ferais, les différentes maisons, les cours, le royaume de la magie, les professeurs et surtout ce type qui n’était autre que notre directeur : le professeur Dumbledore !

Je n’y croyais pas ! Tout ce que l’on me racontait semblait tout droit sorti d’un conte de fée ! Vivre cette aventure allait être la chose la plus palpitante de ma vie !

Pour faire court, je passai toutes mes classes et toute ma scolarité à Poudlard ! Les premières années furent extrêmement difficiles pour moi, surtout la première et la deuxième.

C’est là que j’appris que même les enfants sorciers pouvaient être de véritables petits monstres lorsqu’il s’agissait de dévaloriser un camarade ! Essentiellement les Sang Purs et les Serpentards ! Ahh ceux-là ! Je m’en méfiais comme de la peste !!

Je les détestais et les méprisais pour se croire supérieurs, alors qu’en réalité ils n’obéissaient qu’à des idéaux préconçus par leurs parents ! Ils suivaient leur trace et n’avait pas assez de jugeote pour se défaire de leur emprise… De véritables imbéciles !

Pour ma part, j’étais élève à Serdaigle ! Bastion des personnages d’esprit et d’intelligence ! Je me fis vite beaucoup d’amis qui haïssaient tout autant que moi ces serpents de malheur !

Comble de ma tristesse et de mon désespoir : Susan n’était pas avec moi ! Elle avait été « choisie » pour intégrer les Serpentards et ne s’y plaisait bien sûr pas du tout… Elle qui était si douce, si jeune… je ne comprends toujours pas pourquoi on a choisi de la mettre ici… Sa maman disait qu’elle ne supporterait pas la pression et elle n’avait pas tort…

Malheureusement, je me fis souvent reprendre par mes professeurs pour violence envers mes camarades ! Dès que j’en croisais un qui me traitait de « sang de bourbe » j’entrais dans une colère noire !

Bref, c’est marrant mais, je jouais trop facilement des poings et ce n’était pas toléré ici ! Un duel, oui, comme chez les mousquetaires, mais pas de bagarres ! L’on voulut canaliser ma violence et ma colère, mais rien n’y fit ! J’étais toujours quelqu’un de très emporté !

Avec mes amis et moi-même nous avions crée un petit groupe qui s’appelait les « chercheurs en herbe ». Cela consistait à chercher dans tous les recoins de Poudlard car une vieille légende avait germée et disait que l’on y cachait un trésor !

Ce n’est que quand je devins plus grand que je me rendis compte que les dernières années nous avait joué un sale tour ! Enfin, c’était trippant sur le coup ! Je pus entretenir des relations de camaraderie et de complicité avec mes copains et c’était plus que plaisant !


Dernière édition par September Quint le Lun 24 Nov - 21:43, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: September Quint   September Quint Icon_minitimeDim 23 Nov - 20:59

Les années passèrent et je grandis. C’est ici-même que je rencontrai pour la première fois le garçon supra laid avec ses cheveux gras et noirs, mais aussi ceux qui se faisaient appeler les Maraudeurs !

Une bande de copains pas méchants pour deux shillings et qui faisaient de Poudlard le temple de la blague et de la rigolade ! Les farces qu’ils pouvaient faire entre eux relevaient souvent du génie ! Je ne les connus pas très longtemps malheureusement, car ils étaient tous grands et réussirent vite leurs examens de passage !

Mais il n'y avait pas que ces doudingues... Il y avait lui, il y avait eux. Hormis les Serpentards que chacun d'un peu sensé détestait copieusement deux personnes en particulier me menaient la vie dure. Quand j'y pense je me dis souvent que ce sont eux qui ont réussi à me dégoûter de la gente sorcière...

Aaron Millers était encore un garçon mesuré. Un Gryffondor, bon élève dans ses premières années. Les choses ont rapidement tourné au vinaigre cependant mais je ne saurais dire pourquoi... je crois que c'est parce que sa soeur est morte ou quelque chose comme ça... Il a commencé à devenir de plus en plus irritable et limite marginal. Il ne voulait voir personne, du moins de son entourage amical. Car j'ai jamais dit qu'on avait été amis, loin de là !
Même s'ils n'osaient l'avouer, même s'ils s'en défendaient du fait de leurs maisons respectives cela crevait les yeux qu'ils étaient potes lui et Apophis Sykes...

Apophis Sykes était la méchanceté dans toute sa splendeur ! La ventardise à son apogée ! Il méprisait le reste du monde, même ses semblables, et se moquait ouvertement de ce qui pouvait ressembler de près ou de loin à une quelconque autorité qui lui déplut. Il humiliait quiconque ne pouvait pas lui revenir et se repaissait alors de vos malheurs... Cela lui plaisait ! On pourrait même dire qu'il se complaisait là-dedans. Comme il disait bien souvent : cela lui "redonnait le moral". Sinistre personnage...

Aaron et lui étaient inséparables et c'était même trop visible. Ils étaient un peu comme les Simon and Garfunkel de Poudlard, et je n'exagère qu'à peine.
Je me rappelle qu'une fois Apophis n'avait rien trouvé de mieux que de me faire me désapper pour laver les sols avec mes fringues devant une ribambelle de Serpentards tous plus pliés les uns que les autres...

Il n'imagine certainement pas à quel point il m'a blessé... Enfin si il doit en avoir une vague idée et ça doit l'en réjouir encore maintenant. C'est à se demander si Millers n'était pas tout simplement son plus prompt suivant... Suite à la découverte de leur franche amitié il n'arrêtait pas de m'insulter à son tour, de m'appeler September Gouine ou ce genre de choses. Je n'ai jamais compris comment deux personnes diamétralement opposées pouvaient autant s'apprécier. Peut-être qu'ils étaient gays eux-mêmes ? Après tout c'était pas si difficile à croire vu l'autre blondasse d'Apophis...

Dans l’école, on racontait qu’une menace sourde grondait… La magie noire était à l’œuvre… Et elle prenait les traits d’un meneur particulièrement cruel qui se faisait appeler « celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom » ! Un peu long, certes, mais c’était ainsi ! Son propre nom était synonyme de malheur et de mort !

Bon nombre de serpentards semblaient même liés à sa cause, et je compris bien vite que cet énergumène n’était autre qu’un sorcier ayant fait ses classes chez les serpents !

On racontait même que ceux qui le suivaient portaient sur le bras la distinction de son ordre : un serpent tatoué. Super original ! Maintenant, la mode est aux tribaux, mais il pouvait pas savoir certainement…

Je pris très peur ! J’avais une trouille dingue qu’il ne s’en prenne à Susan ! Elle n’était pas préparée pour ça et avait déjà bien du mal à s’adapter chez les persifleurs ! Mais pourquoi ce maudit choixpeau avait décidé de la coller là ?

Oui, je l’avoue ! J’étais amoureux d’elle. Elle était d’une innocence et d’une grâce parfaite, un peu à l’image d’un ange ! Un ange aux ailes brisées de ne pas pouvoir être soi-même et d’être lié à ces vils reptiles !

Elle aimait m’écouter jouer… elle aimait ma voix… Est-ce que cela voulait dire qu’elle m’aimait ?
Bien sûr, à cet age, j’étais vraiment le roi des idiots ! Cachant cette sensibilité que je trouvais féminine, je n’arrêtais pas de me servir de ce physique d’ado et de mes airs de rebelle pour séduire la première gamine venue !

Je sortais souvent et me faisais plaquer souvent… Mais Susan continuait de me voir, même si je prenais mes fausses allures de tombeur qui n’a peur de rien !

Elle devait savoir qu’au fond de moi j’en souffrais. Alors, comme elle aussi elle souffrait, elle venait me voir et on parlait ! Là oui, nous restions nous-mêmes !

Mais ce bonheur ne tarda pas… Nous arrivions tous deux dans notre cinquième année ! Le poids et la pression étaient à son comble, elle n’en pouvait plus ! Elle venait de plus en plus souvent, me cherchait quand je n’étais pas là !

J’arrivais même à la cacher à Serdaigle, avec le concours de deux ou trois préfets que je me mettais dans la poche ! Elle restait dormir avec les filles qui prenaient soin d’elle (sauf mes conquêtes !) et arrivait peu à peu à se défaire de l’étreinte du boa maléfique…

Tout ceci ne fut que de courte durée ! Elle mourut, frappée par une foudre étrangère, figée à jamais par la douleur et une peur irascible qui lui tordait le visage et les membres.

Cet amour d’adolescent, cette amie fidèle, cette belle âme s’enfuit de moi à jamais et laissa planer une ombre sur Poudlard et moi-même pendant pas mal d’années…

Je passais mes examens avec succès. Et, quand je dus partir de l’école, j’avais à peine 18 ans. J’étais un jeune homme, formé, toujours avec cette même dégaine de tombeur qui s’était renforcée depuis la mort de Susan…

Je savais pas trop quoi faire au sortir de Poudlard… Les éventualités qui se présentaient à moi ne m’emballaient vraiment pas tandis qu’elles charmaient mes camarades !

A quoi bon rester dans ce monde de magie si la seule personne qui me l’eut fait découvert était partie ? Je restais à Poudlard pour la forme et car j’étais sorcier… mais depuis je n’avais plus envie de devenir quoique ce soit sans mon amie !

Je décidai de retourner à Londres. Là, je fis petits boulots sur petits boulots qui me permirent rapidement de trouver un appart’ ! Je choisis de reprendre contact avec mes parents… ces derniers me renièrent mais Kitty, ma petite sœur, restait toujours là !

Elle avait 11 ans et était une enfant « normale » qui allait dans une école protestante et qui suivait ses cours avec assiduité ! A ses yeux, j’étais un aventurier qui était allé dans le pays des fées… vous voyez la distance de compréhension, parfois…

Bref, je me remis à travailler en tant que simple moldu ! J’étais tantôt plongeur, tantôt employé de bureau, tantôt videur (avant d’être vidé par des teuffeurs enragés), tantôt secrétaire…
En somme, j’avais du mal à me faire à cette vie et ces douze années me parurent extrêmement longues…

Jusqu’à ce que je ne fasse la plus belle erreur de ma vie… mais ça, je n’en parle qu’à des personnes très proches, et encore… Je crois que jamais je ne pourrais me pardonner cela, mais j’ai fait un choix… Si seulement ce petit elfe de maison n’était pas revenu…

J’ai trente deux ans aujourd’hui. Ca fait quatre mois que j’ai quitté le monde des moldus ! Je suis écrivain et j’ai un rêve en tête : écrire un livre à la gloire de Poudlard pour que chacun dans le monde des sorciers en découvre les coins et les recoins.

Je cherche à faire le plus bel ouvrage que cet établissement n’ai jamais connu !
Et puis, peut-être trouverai-je réellement ma place auprès des miens ?


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MessageSujet: Re: September Quint   September Quint Icon_minitimeMar 25 Nov - 21:52

And Now ?...

Je devrais dire que tout s'est bien passé, que j'ai une vie rêvée, une belle petite famille, une maison avec un chien mais... errff... c'est pas vraiment ça, vous voyez ?
J'ai menti à tout le monde ! J'ai su les abuser pendant deux ans... deux années avant qu'Il ne se lève et que je ne rejoigne définitivement Ses rangs !
J'avais une telle haine en moi envers les sorciers ! Je les méprisais tant. Vous n'avez pas idée d'à quel point je désirais me venger de ce que j'avais subi par le passé.

Mais j'ai aussi vite appris que tous les visages n'ont pas forcément celui de mes agresseurs... trop tard hélas.

Héhéhéhéhé. Je me suis marié, mettant fin ainsi aux médisances d'un certain Aaron Millers et d'un autre Apophis Sykes... J'ai eu deux jumeaux : une fille, Sarah et un garçon, Nelson. Aujorud'hui je ne sais pas où ils sont... Devinez quoi ? Mon épouse m'a plaqué pour un autre... Quand j'y pense je me sens tellement nul et puis cela me fait bien rire. En attendant qui aurait voulu d'une cruche pareille ? Hhmmm... pardon j'sens que je deviens de plus en plus agressif et mesquin gratuitement ces derniers temps. Enfin gratuitement, c'est relatif... J'aimerais m'attarder sur des lieux-communs, du genre : "elle m'a tout pris", "comment a-t-elle pu me faire ça ?", "pourquoi l'ai-je ainsi laissé au moment où elle avait le splus besoin de moi ?" mais je n'en ai pas la force... En plus les rabacher sans arrêt ne mène strictement à rien.

Pourquoi vous parlais-je de Lily-Roze déjà ? Ahh oui ! Les personnes que l'on rencontre ne sont pas tous foncièrement mauvaises...

Je me suis fait des amis. Je suis devenu Professeur d'Etude des Moldus avant d'être remplacé suite au retour du Lord et à ma conversion en tant que Mangemort. J'étais ainsi en contact avec des élèves épatants tout en apprenant à connaître d'autres sorciers de milieu, de profession et de moeurs différents. Lorsqu'il m'a fallu me lier au Seigneur des Ténèbres et quitter tout cela, un pan de mon monde s'est soudain écroulé. Avec lui j'ai perdu ma famille, mes amis tout ce que j'avais construit en venant ici... Sirius Black est mort en voulant sauver Harry des griffes des Mages Noirs. Il était, je crois que je peux le dire, le seul véritable ami que je n'ai jamais eu ! J'espère qu'il le sait... Enfin maintenant ça lui fait une belle jambe !

J'ai su ainsi ce que cela fait d'être seul... et je ne l'oublie pas désormais ; à la différence que je sais y faire face à présent. Je me suis fait une raison : en abandonnant tout ce qui m'était cher je franchissais le point de non-retour. Mais qui s'en soucie maintenant, pas vrai ?

J'ai fait mille tentatives pour reprendre ce qui m'appartenait... en vain. Mes enfants m'ont été enlevés, craignant que je ne m'en prenne à leur vie. Mes amis sont morts. Ma femme m'a laissé tomber. Qui s'intéressait à moi alors que je touchais le fond ? que j'essayais de me trancher les veines ? Personne...
Si ! Il y a bien l'autre empaffé là ! Toujours là jouer les Saint-Bernard et montrer à tout le monde à quel point il peut être bon. Apophis Sykes m'a donné une seconde chance et m'a permis de travailler auprès de lui en tant que aide/ soufiffre/esclave/stagiaire au sein du Ministère. Ma situation était stable à présent et je pouvais me reconstruire petit à petit, du moins gagner ma vie...

Je n'ai jamais su vivre qu'à travers la médiocrité...

Comment l'ai-je remercié ? Je l'ai tué.
Je suis le mec qui a abattu l'Auror déchu, le Défenseur de l'Ordre, le Tombeur de jeunes filles...
J'ai pas de raisons particulières. Pourquoi ? Vous pensez que c'est une sombre histoire de vengeance vis-à-vis de ce qu'il m'avait fait subir vingt ans plus tôt ? Que j'ai fait cela afin de faire de la peine à sa famille ou encore de lui rendre service ? Que j'ai voulu, par ce seul acte, plaire au Lord ?

Nan, je l'ai fait parce que ça me chantait.

Si vous saviez ce que je me fiche de dézinguer Pierre, Paul ou Jacques. D'appartenir au Lord, au Ministère ou à la Reine d'Angleterre. D'être un Mage Blanc, un Moldu ou un Mage Noir. Ce qui vous fait vous est ce que vous êtes et ce que vous faites pas le groupe/clan/fratrie dans laquelle vous vous intégrez.
Je suis libre maintenant, je le sais. Et j'irai où le vent me porte.

Que puis-je ajouter d'autre en regardant en arrière ?

Bien... c'était une belle existence. Courageux de croire qu'un jour une vie normale me tendrait les bras. Mignon de penser que je pourrais me faire aimer des autres. Naïf d'espérer que je retrouverai tout ce que j'ai perdu.

Ce n'était pas à moi... Ca n'a jamais été moi... Attention ! j'aime mes gosses, je dis pas ! Mais sincèrement, si j'avais un truc à leur dire : vivez libres !! LIBRES ! Et ne regrettez jamais rien ! Mieux que ça même ! Ne laissez jamais personne vous faire regrettez quoique ce soit.

C'est tout maintenant. Je regarde droit devant moi...
Et je sais toujours pas ce que l'avenir me réserve.
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Aaron Millers
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MessageSujet: Re: September Quint   September Quint Icon_minitimeSam 29 Nov - 1:01

Fiche excellente, comme d'habitude.^^
Le petit mot magique et on valide tout ça ^^
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Francis Cabrel
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MessageSujet: Re: September Quint   September Quint Icon_minitimeDim 30 Nov - 11:55

Et j'attendais, moi, comme une fleur ! Excusez-moi je mets la suite Very Happy !

Autre

Baguette Magique : bois de roses, 27 avec une plume de corbeau à l'intérieur.

Animal de compagnie : son fils ? Hahahaha... comme c'est méchant !

Votre camp : Les Mangemorts ^^

Code du Reglement : Ok!
EDIT : héhé ^^ y a un truc qui s'est rajouté et qui vient de nulle part Very Happy ! Excusez-moi de pas avoir tilté avant ^^ !

Un signe particulier (facultatif) : il a un caleçon Garfield ! Et il imite à la perfection Francis Cabrel avec sa guitare qui tue ! *glong !* "Petite Marie je parle de toi parce qu'avec ta petite voix..." *glong !*

Vous êtes quoi? : Apophis : c'est un c*nnard !!

Pppfff... Apophis tu fais schmir ! Même dans la mort... Bon...

Je crains de ne pas avoir compris le sens de votre question Very Happy ! Ca veut dire quoi ?
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MessageSujet: Re: September Quint   September Quint Icon_minitime

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